dimanche 2 septembre 2012

étonnement

Mon étonnement

La femme de plus en plus libérée ?
Oui mais que y avez vous gagné !
De choisir de vous faire sauter ?
Et d'être toujours assiégée

Oui de bels hommes je vous vois rêver
Dans les bras de salaud vous finissez
a vous entendre vous subissez
a vous voir, vous provoquez

vous rêvez de prince charmant
de doux et tendres amants
vous vous conduisez en salope
et êtes étonnées de tomber sur l'interlope

ne vous étonnez pas de nous voir fuir
vous dites les bons sont pris
ils ont surtout voulu ne pas subir
et ont choisis d'être compris

votre beauté, celle que vous croyez
je peux vous en faire la démonstration
ne l'est que par vos provocations
jupe courte, grand décolleté, prête a être sautée

je sais, vous allez penser, qu'en vieux aigri
mes mots provoquent ce que je ne peux avoir
mais sachez que c'est moi qui vous fuit
vivre seul vaut mieux qu'une vie pourrie

Oui, je parle d'amour, oui j'écris l'amour
mais de cet amour qui rime avec toujours
d'un amour de partage, de rires, de passion
d'un amour qui se vit a deux jusqu’à la déraison